Sa nomination est fortement critiquée par les organisations des droits de l’Homme. Ce général soudanais est proche du président El-Béchir, poursuivi pour crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale. Mustapha Al-Dabi, ancien chef des services des renseignements militaires soudanais, serait responsable de tortures sur des rebelles au Soudan du Sud.
« Je ne vois rien d’effrayant » est une phrase qu’il a réellement prononcé lors de son arrivée en Syrie au sujet de la répression à Homs.